– Je ne t’ai pas fait jouir… C’est fait exprès… Hmmm… Hmmm… C’est parce que je te veux en moi… Je t’en prie… !
You and I du groupe disco anglais Delegation résonne… «Amande» fait un demi-tour sur elle-même. Elle me présente ses belles fesses. D’un regard lourd de sens, elle me fait comprendre qu’elle me fait confiance. Alors je pose timidement mes mains sur son fessier.
Je fantasmais sur les chanteuses R&B américaines des années 2000 dont on voyait souvent les fesses se déhancher sur MTV ou sur MCM.
«Amande», elle, est bien réelle.
Je lèche l’une de ses fesses d’un petit coup de langue, puis gratifie l’autre fesse d’un second coup… Elle halète.
– Ne laisse pas mon désir insatisfait!
J’embrasse ses deux fesses, l’une après l’autre. Elle me regarde, sa tête tournée en arrière, vers moi. Dans ses yeux, je lis la confiance, le désir, le plaisir. Alors, j’écarte ses jambes, ses belles jambes légèrement musclées et agréables à regarder. Je pose mes mains sur ses fesses et les palpe. Je les caresse avec le plat de la main. Puis, comme si je l’entourais de mes bras, telle une pieuvre qui attrape une proie avec ses tentacules, j’atteins le bouton de son jean et l’ouvre. Je descends la fermeture éclair. Puis, c’est au tour du jean bleu de descendre. Que vois-je? Le bas du corps de ma belle n’a rien à envier au haut. Elle a de belles jambes, musclées jusque comme il faut. Elle porte un shorty en dentelle, d’un rose bonbon et… coquin. Elle porte une paire de bas autofixants noirs. Sexy girl… J’ai envie de goûter sa peau crémeuse. Je suis sûre qu’elle est un délice pour les papilles… Je recommence mon manège d’il y a quelques instants, mais, ce coup-ci, sur sa peau nue et offerte.
De deux doigts plutôt timides au début, j’effleure sa vulve toute trempée, sa vulve qui gonfle, rougit et se dilate de par le désir. J’embrasse ses cuisses à travers le shorty en dentelle qu’elle porte encore et toujours. Je dépose un petit baiser sur son intimité, à travers la dentelle délicate, sur ses grandes lèvres. Son liquide d’amour n’entre pas directement en contact avec ma bouche. Le petit morceau de dentelle est encore un Rubicon qui nous sépare, elle et moi.
Je me décide de l’écarter de mon chemin, alors je le descends lui aussi, le long de ses jambes, avant de le lui ôter, et je lèche tout doucement ses grandes lèvres, rougies par le désir et gonflées par le plaisir. Mon nez contre sa toute profonde intimité… Du sucre, des fleurs… Son minou a un vrai parfum.
Pour moi, lécher une femme, ça demande de l’intimité, du désir, un je-ne-sais-quoi. Elle est Ève. Elle me tente. Blonde, tout sourire, offerte… Elle n’a gardé qu’une toute fine toison pubienne. J’y glisse mon nez pour la humer, j’y glisse mes doigts pour me faire une idée de sa texture. Ses poils sont doux. Je les aime. Et elle… elle me plaît. De plus en plus.
Mon visage est encore entre ses cuisses. Ses jambes sont écartées. Dans un premier temps, j’ignore son clitoris, et je me doute bien que c’est là qu’elle veut que je mette la langue. Non… Avec le plat de la langue, je lèche l’entrée de son intimité. Je masse, lèche et suce ses lèvres intimes avec gourmandise. Elle halète. Elle gémit.
Je me décide alors à écarter ses grandes lèvres. Et là, que vois-je? Des belles petites lèvres gonflées et rougies. Un petit bouton dressé. Le petit bouton magique de mon «Amande». Son clitoris est gonflé, lui aussi, et même si mes caresses la font de plus en plus mouiller et donner de la voix, j’attends le moment propice et qu’il soit à ma merci pour que je veuille enfin y porter toute mon attention. J’aime ce parfum féminin intime, si enivrant, si sexuel. J’aime son goût à elle. Si ma queue est devenue sa sucette préférée, alors «Amande» est la friandise dont je raffole à compter de ce jour.
Mon visage est entre ses cuisses, et même si je la lèche par-derrière, elle tourne parfois la tête vers moi, pour me regarder faire. Je peux voir ses yeux tantôt clos, tantôt en amande. Et quand elle ne me regarde pas, elle me maintient la tête tout contre sa féminité chaude, sucrée, trempée. Je la lèche avec plaisir, avidité et délectation… Tantôt des petits coups de langue sensuels, tantôt des coups de langue plus rapides. «Amande» y prend visiblement du plaisir : elle s’efforce à me maintenir contre elle… son bassin et son derrière vont à la rencontre de ma bouche… sa respiration est plus brève et davantage haletante… sa chair rougit… elle inspire et expire… sa poitrine se soulève… C’est à ce moment-là que je décide de taquiner timidement, dans un premier temps, le bouton d’or de ma belle. Si je m’y étais pris plus tôt, ça n’aurait pas été forcément agréable pour elle. Tandis que là… «Amande» halète, soupire, gémit longuement. Elle remue ses belles fesses contre mon visage. Son bassin ondule. Elle savoure le plaisir que je commence tout juste à lui procurer. Elle imprime son rythme. Elle sécrète encore plus de cyprine.
Jamais une fille n’avait autant mouillé à mon contact, pour moi. Je me remémore ces filles que j’ai connu avant la petite blonde aux yeux lagon. Elles avaient froid aux yeux. Elles étaient sur la réserve. Elles voulaient qu’on «reste au final amis»… J’ai perdu mon temps avec elles. Si seulement «Amande» ou bien une FEMME comme elle avait croisé mon chemin beaucoup plus tôt…
– Toi… Toi… Tu t’y prends comme il faut. Allez! Allez! Oui! Oui! Encore! Encore! Encore! Tu la sens ma mouille sur ton palais? Tu le sens mon bouton d’amour vibrer sous les coups de ta langue? Mon corps est à toi… Ne t’arrêtes pas! Ne t’arrêtes pas! Ne t’arrêtes pas! O mon dieu! O mon dieu! Merde! Je vais… Je vais jouir!
Le mouvement de ses fesses contre mon visage devient plus frénétique, plus rapide, plus rythmé. Elle pousse encore un cri libérateur de tous les diables. Deux…
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