Constance savait parfaitement ce qu’elle faisait, en ôtant délibérément sa nuisette. D’une… elle aimait son corps, et ce n’était plus du tout un problème pour elle d’être dans le plus simple appareil, ou presque. De deux… elle savait que j’étais sous le charme, et que son corps est mon monument préféré, celui que je ne me lasse jamais d’admirer, dans les moindres détails. En
particulier, ses petits seins en poire qui, à cet instant, pointaient, dardaient.
– Comme je viens de te le dire, Lucas, je veux que… que tu jouisses de moi. Et je sais que tu aimes mes seins par-dessus tout. Du coup… j’ai décidé d’enlever ma nuisette. J’espère t’exciter davantage ainsi… Hmmm…
Ah ça… Elle avait raison, Constance. Je suis fou de ses petits seins. J’avais toujours eu un faible pour les petites poitrines avant de connaître Constance, mais mon amour des petits seins a pris un nouveau tournant, une nouvelle dimension, depuis que ma «petite» blonde partage ma vie.– Tu as envie de les prendre dans ta bouche, Benoit ?
– Hmmm… oui.
–Tu as envie de les lécher et de les téter ?
Constance me demande exactement ce dont j’ai déjà envie. Elle le sait car elle me connaît bien.
Elle est toujours à quatre pattes, à califourchon, et se rapproche de moi. Est-ce que je rêve ou bien est-ce vraiment ce que nous sommes en train de vivre et de partager ? Non ! C’est bel et bien réel. Et, je me sens l’homme le plus heureux du monde.
Constance se place idéalement, de telle sorte qu’elle fasse que ses seins soient miens. Ils sont à portée de mes mains ET de mon visage. Avec mes deux mains, je les empaume. Je les prends doucement, et je savoure leur petitesse, leur douceur.
– Hmmm… Lucas… Mon Lucas…
Constance me laisse passer les doigts sous ses seins. Je pose mes mains sur le galbe menu de cette poitrine que j’adore. Je n’adore que les seins de MA Constance. Ses tétons pointent déjà, et pourtant… Je ne peux m’empêcher de poser la pulpe de l’un de mes doigts autour de la pointe de son sein, sur l’aréole rose du mamelon. Hmmm…
– Oh oui, mon amour ! S’il te plaît. Tu sais que j’aime quand tu t’occupes de mes seins. Tu le fais si bien. Hmmm… C’est bon, Lucas. Oui… Oui… Oui !
Ces derniers mots finissent par me convaincre : j’approche tout doucement mon visage de sa petite poitrine, et je me mets à taquiner la pointe de son sein avec mon nez. Puis, je passe la langue sur le téton.
Constance pousse un gémissement, et je n’ai pas besoin qu’elle parle pour qu’elle me fasse comprendre qu’elle ressent du plaisir quand je lui caresse ses seins. Ma langue sur la pointe de son sein… Ma langue autour du téton, sur l’aréole rose… Ses deux petits seins tout mignons, en poire, je… les… aime. Constance est canon, et je l’aime. Je prends son téton entre mes lèvres, et je le
suce. Je la tète. Hmmm…
Je m’occupe de son autre sein, et je lui accorde la même attention. Constance donne de la voix. Je quitte momentanément sa poitrine pour lui jeter un coup d’œil. Constance a les yeux fermés, et semble, elle aussi, céder aux sirènes du plaisir.
Et, pendant que je lui rends la monnaie de sa pièce, comme je le lui avais dit juste avant, je me rends que mon pénis «subit» des mouvements de va-et-vient. Constance utilise son bassin et ses fesses pour les faire. Elle s’est remise à me branler…
– Continue, Lucas. Continue ! J’aime que tu t’occupes de mes petits seins, délicatement. Je n’avais jamais ressenti ça, avant toi. Continue ! Mon Lucas… Oh…
Pendant que je donne du plaisir à Constance, rien qu’en lui embrassant, en lui léchant et en lui suçant les tétons, ma petite blonde m’en donne également, encore, en ondulant et en effectuant ces va-et-vient dont elle a le secret. Actrice amateur, lascive, elle me domine en restant à califourchon, en étant maîtresse de mon plaisir. Je lui appartiens…
Elle approche son visage du mien. Nos nez se touchent. Je délaisse ses seins, et je pose mes mains sur ses flancs. J’aime les poser sur le bas de ses reins. Je me mets à son service, et j’accompagne ses mouvements alors qu’elle continue, elle, de se balancer, d’onduler, et de me branler.
– Lucas… Continue de m’embrasser. S’il te plaît… J’ai envie de me sentir bien contre toi, sur toi, pendant que tu poses tes mains sur mon corps. Mon corps, je n’en ai plus honte. Mon corps, je l’aime parce que tu l’aimes. Je t’aime, Lucas! C’est grâce à toi que je suis la femme que je suis aujourd’hui et que j’aime oser. Je… suis… ta… Constance. Encore !
Constance me prend, à califourchon, et je sens, petit à petit, le plaisir m’envahir et prendre possession. Je ne sais pas si je vais être capable de me retenir plus longtemps… Constance le devine…
– Je sens que je suis en bonne voie… Hmmm… Intéressant… Intéressant. J’adore te donner du plaisir, Lucas. A toi. Et… je connaîtrais bien quelque chose qui te rendrait encore fou, mon amour. Et encore plus fou de moi. Ne… bouge… pas… Et… dé-tends toi, mon chéri.
Aussitôt dit, aussitôt fait… Constance relâche son étreinte. Elle revient à hauteur de mon pénis. Elle le prend dans sa main, et le branle comme elle sait le faire. Puis, elle approche sa bouche de ma queue, et donne un, puis deux, puis trois, puis d’autres doux coups de langue. Elle prend
ensuite mon gland dans sa bouche chaude. Elle me prend… Je vais succomber! Par pitié… !
Constance est audacieuse, et je l’aime.
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