– Tu la sens, ma main, sur ta queue?
– Hmmm…
– Tu la sens te procurer beaucoup de plaisir?
– Je suis définitivement sous ton charme, Constance. Je suis tombé pour toi. Je t’appartiens. Fais de moi ce que tu veux…
Elle ne s’occupe plus seulement de mon gland à présent. Mon membre, tout entier, est la cible de sa main et des va-et-vient qu’elle exerce pour accroître mon plaisir.
– Plus… plus vite, Constance…
Je gémis.
– Plus vite, s’il te plaît, bébé…
Elle glousse, et sa gorge émet comme un petit rire.
– On dirait que tu sais ce que tu veux, mon amour. Mais… c’est moi qui suis en train de te baiser avec ma main. C’est moi qui décide..
A la parole s’ajoute le geste : elle pose un doigt sur mes lèvres pour m’intimer de me soumettre et de m’abandonner au plaisir qu’elle seule me procure. J’émets un son que je ne saurais trop qualifier. Un peu comme un son plaintif. Comme si je
la suppliais d’accentuer le mouvement de sa main et de l’accélérer.
– Plus… plus vite! Plus… plus fort, Constance! S’il te plaît…
Je halète de plus en plus alors que Constance est en train de m’offrir l’une des plus belles branlettes… et l’un de plus beaux réveils de ma vie. Le plaisir prend de plus en plus possession de moi, et je ne ressens aucune gêne à exprimer ce plaisir que seule ma Constance sait me donner. Par des soupirs. Par des gémissements. Ou même carrément par des mots.
– Ce que je fais te plaît, mon amour?
Ah ça… Jolie Constance, tu ne paies rien pour attendre… Quand mes doigts ou même ma langue seront en toi… Je te rendrai la monnaie de ta pièce, et tu jouiras comme jamais. Tu peux me faire confiance! Ma queue est lubrifiée comme il faut, et tu me branles comme je te l’ai appris. Contin-nue…
– S’il te plaît…
C’est elle qui dose mon plaisir à bon escient. Elle me baise à sa guise. Pourtant… J’ai envie de rendre les armes.
– S’il te plaît, quoi?
Elle braque ses yeux dans les miens, comme si elle exigeait que je lui dise la vérité.
Constance… Fais-moi jouir, s’il te plaît!
Elle marque un temps d’arrêt. Sa main cesse momentanément son étreinte. Constance se rapproche de moi, de nouveau à califourchon. Une fois encore, elle m’embrasse, et ne se lasse pas de goûter à mes lèvres. Je suis à elle.
– S’il te plaît, Constance… Continue de me caresser!
– Chut, Lucas, chut…
Elle pose sa main sur ma bouche.
– Avant que tu ne succombes, je voudrais que… tu jouisses de moi, toute entière, et pas que de ma main…
Elle s’éloigne de moi, seulement de quelques centimètres. Elle se met à genoux, comme si elle faisait une prière. Et… cerise sexy sur le gâteau: elle… pose ses deux mains sur le haut de sa nuisette noire, et la passe au-dessus de sa tête. Elle est à présent seins nus. Sa poitrine toute menue, en poire, offerte à mes yeux… Ses tétons pointent déjà, alors même que je ne lui ai rien fait… Je
suis à jamais sous le charme. Constance… Fais de moi ce que je veux.
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Bravo… Belle histoire !