Vendredi soir dans les beaux quartiers d’une grande ville… Sifflets admiratifs…
–Oh… la bourge, t’es sapée comme une princesse !
–… …
–Ne fais pas ta mijaurée ! T’as vu comme t’es gaulée ?
–… …
–La jupe ras la touffe, des escarpins… Tu tortilles tellement des miches qu’on attrape le mal de mer !
–Jeune homme passez votre chemin… Laissez-moi tranquille… Je rentre chez moi !
–Tu veux pas qu’on fasse le chemin tous les deux ?
–Mais je vous en prie… Je n’ai rien à faire avec vous…
–Tu crois ? Un pti coup de queue, ça te dis pas ?
–Vous me scandalisez… Passez votre chemin… J’en ai assez !
Le bras pris comme dans une serre, il me pousse sous une porte cochère… Je me débats mais que faire contre un homme jeune, dans la force de l’âge ? Je suis plaquée contre le mur et je ne peux que subir… La main qui me tient glisse dans l’ouverte de ma veste et s’empare d’un de mes seins à peine voilé par un soutien gorge de dentelle… Il est vrai que je ne porte rien d’autre… La doublure de satin de ma veste suffit…
Une bouche avide se plaque sur la mienne… Je garde les lèvres serrées mais lorsque je sens qu’un de mes tétons est pincé à me faire mal, j’ouvre ma bouche à une langue avide qui part à l’assaut de la mienne…
Contre ma cuisse, je sens le sexe dressé qui cherche ma fourche intime au travers des vêtements…
Quand la seconde main passe sous ma jupe en la remontant, je sais ce qui va se passer… Le loubard va sentir que je mouille…
Cet assaut qui ressemble aux prémices d’un viol me fait mouiller…
–T’es vraiment une salope ! Tu mouilles comme une fontaine ! T’as envie de te faire baiser ?
–… …
–Dis-le ! Quand on est sapée comme toi, qu’on tortille du cul, c’est un vrai appel au mâle !
–… …
–Allez… Viens… Entrons que je te saute vite fait !*
–Non… Pas là… Je suis près de chez moi… Viens ! Tu ne le regretteras pas !
–Ok… çà marche… Montre-moi le chemin… Marche devant moi en tortillant du cul… çà m’excite de te voir marcher comme une pute qui drague sur les boulevards !
J’aurais pu profiter pour me sauver ou appeler à l’aide mais je suis domptée… et comme cela fait plus de deux mois que je n’ai plus fait l’amour, je suis quelque peu en manque…
Cinq minutes plus tard, nous entrons dans mon grand studio… quand le loubard me dit sèchement :
–Allez… à poil que je vois quel lot j’ai tiré ce soir… Fais-moi un joli striptease !
Je choisis une musique d’ambiance et je commence à me déshabiller comme j’ai vu des filles le faire dans des vidéos…
Je déboutonne lentement ma veste que je fais coulisser sur mes épaules que je dénude tour à tour puis je la laisse glisser au sol…
Je bombe le torse pour mettre en valeur mon 90 C bien rond encore pris dans la dentelle…
Sifflement admiratif !
–T’es sacrément lobée ! T’as une poitrine de ouf !
C’est vrai que j’en suis très fière… à 35 ans, elle ne s’est pas encore affaissée comme certaines que j’ai pu voir sur les plages naturistes !
Je fais glisser la fermeture de ma jupe et je me retourne… Je me tortille pour la faire passer sur mes hanches puis elle tombe à mes pieds…
Je ne porte plus que mes sous-vêtements… Un soutien gorge de dentelle blanche qui met en valeur ma peau mate de fille du soleil, un tanga assorti et mes escarpins à hauts talons…
Je me penche en avant et le loubard peut admirer mes fesses rondes et fermes…
–Ben dis donc… le bas vaut bien le haut !
–Tu crois ?
–Oh oui… t’as des miches qui valent largement tes roberts… çà m’étonne plus que tu tortilles du cul comme tu fais !
Toujours le dos tourné, je fais glisser mon tanga le long de mes cuisses, lentement comme pour retarder l’instant où il ne sera plus qu’un tas de chiffon avec mes autres vêtements…
Toujours perchée sur mes talons, je me dandine sur place au son de la musique puis je me retourne en dégrafant mon dernier rempart !
–Tu as ce que tu voulais… Me voir à poil ! Et bien… à ton tour maintenant !
Il ne faut pas deux minutes pour que nous soyons à égalité, le T-shirt, le jean et les baskets sont ôtés vivement… Ce coquin ne porte même pas de slip !
Et que vois-je ? Un beau sexe mâle dressé presque jusqu’au nombril avec un gland circoncis et mauve tant il est gorgé de sang…
Mais le reste de mon loubard vaut lui aussi le coup d’œil… Un corps délié aux épaules larges, une musculature finement dessinée… pratiquement imberbe…
En moi-même je pense que j’aurais pu tomber plus mal ! C’est un beau mec… Un peu plus de 20 ans je pense !
–Alors… çà te plait ?
–Pas mal du tout !
Le loubard s’approche de moi et doucement il m’étend sur le divan lit que je n’ai même pas refermé ce matin…
Il est doux mais ferme dans ses gestes… Je ne peux que suivre ce qu’il me fait faire… m’étendre sur le lit, les chaussures sur la moquette !
Il ouvre mes cuisses et constate :
–Dis donc… t’as une jolie touffe bien taillée… J’adore ce cœur de poils… la pointe juste sur le capuchon du clito !
–… …
–Tes lèvres sont gorgées de sang… Humm… je sens que çà va être bon !
–… …
Plus que je le vois, je sens le loubard se pencher sur mon intimité… puis je sens son souffle qui parcourt mes nymphes… J’imagine qu’elles s’ouvrent…
–T’es vraiment une catin ! Tu mouilles comme c’est pas permis !
–… …
–Je vais te grimper… Tu ne perds rien pour attendre…
–… …
–Regarde comme je bande pour toi !
Effectivement le sexe de mon loubard a encore pris du volume et de la longueur… Quel barreau !
Le mec se relève, fouille dans son jean et en tire l’étui d’un préservatif qu’il déchire et se couvre en disant :
–J’aime bien baiser les meufs comme toi mais je ne veux pas chopper une vacherie !
–Tu as raison… Je suis saine mais je suis en pleine période féconde et je ne prends plus la pilule !
–Ok… alors on est d’accord !
Il s’approche encore plus de moi, les deux bras de chaque côté de mon buste, je sens son dard qui musarde le long de mon périnée, remonte entre mes lèvres puis le gland entre… doucement comme si le mec voulait me faire languir alors que je suis toute à lui…
Tout aussi lentement il pénètre en moi… Je sens mon vagin s’ouvrir jusqu’à ce que ma matrice sente le bout de ce Priape…
Waouh… qu’est-ce qu’il me met !
Puis il entreprend de me baiser à longs traits, d’abord lentement comme s’il voulait que je m’habitue au volume qui m’habite… puis de plus en plus vite puis ralentit à nouveau, laissant refluer le plaisir qui monte dans mon ventre…
Je n’imaginais pas que derrière son langage vulgaire j’avais à faire à un amant savant…
Que c’est bon… Depuis plus de deux mois, j’étais sans amant… et le manque de jouissance commençait à me peser… Est-ce pour cela que j’avais aussi peu résisté ?
Soudain, je ne peux plus retenir mon plaisir qui éclate dans mon ventre et remonte le long de mon dos… Je me libère dans un cri de fauve…
Mon loubard reste en moi… sa bite toujours bandée et ferme… Il n’a pas joui !
Dès que j’ai récupéré un peu, il reprend la copulation en caressant un sein de sa main… torturant le bourgeon…
Ils sont si sensibles que je passe du chaud au froid ! Mais c’est comme si je n’avais pas déjà joui… Je sens que je vais partir une nouvelle fois…
Oui… çà y est… Je pars…
–Oouuiii ! Vas-y baise moi à fond !
Et à ce moment là, j’ai l’impression que le sexe qui est dans le mien gonfle encore… et je sens quelques giclées se déverser au fond de la capote !
Quelques temps plus tard, nous sommes allongés su le lit… je suis dans les bras de mon loubard… Je récupère de mes jouissances successives… Je suis bien !
Mais cela ne semble pas lui suffire… Il m’embrasse, langue contre langue, ses mains suivent les courbes de mon corps… Il me chauffe… Visiblement, il a encore envie de moi… Je sens son sexe battre contre mon pubis…
–T’es un sacrée meuf ! Faut pas t’en promettre ! En plus gaulée comme tu es, c’est un vrai panard !
–Oh oui… Tu m’as bien baisée !
–T’en veux encore ? Si t’as des capotes, je suis partant !
–Ok… j’en ai en réserve !
–Ok… Mets toi en levrette pendant que je me couvre !
–Oh non… pas par derrière !
–T’inquiète… c’est pas ta rondelle qui m’intéresse ! Je veux juste voir ton cul quand je vais t’enfiler !
–… …
–T’es prête ?
–Oouuiii !
Les bras en appui sur le dossier, je suis prête… j’attends… En tournant la tête du côté du grand miroir situé à me gauche, je ne vois… cavale en attente de son étalon qui s’approche de moi…
Mon loubard pose ses mains autour de ma taille…
Son dard frotte contre ma toison, passe entre mes lèvres et de nouveau ce gland mafflu m’ouvre et entre dans ma chatte… La pénétration est un peu plus brutale… et lorsque le pubis de mon loubard tape contre mes fesses, je manque d’air tant il m’a enfilée jusqu’au plus profond !
Pour être saillie, je le suis et je ne peux pas m’empêcher de regarder notre accouplement dans le miroir… Je vois mes seins qui bougent à chaque fois que je suis pénétrée à fond, comme s’il voulait me projeter en avant !
La queue qui me prend va de plus en plus vite comme une bielle bien huilée (je mouille tellement que c’est l’image qui vient à mon esprit)…
Mon loubard semble infatigable… et chez moi, après ses deux premières jouissances, la mienne est plus lente à venir !
–Décidément ! T’as un cul de princesse ! Je l’savais quand je t’ai suivie : Tu tortillais tellement que c’était comme un appel !
–… …
–Lâche-toi… çà vient !
Et là, le loubard plante un doigt dans mon anneau plissé ce qui me fait partir en même temps que lui…
Je sens à nouveau ses giclées abondantes frapper ma matrice… Je délire…
–Oui… baise moi bien… Je suis ta chose… Défonce-moi !
–Quand tu disais être en manque…
Et, toujours imbriqués l’un dans l’autre, nous basculons sur le côté et nous nous endormons ainsi !
Le lendemain matin, je me réveille la première… dans un demi-sommeil, je sens entre mes fesses le sexe du loubard à moitié bandé et je suis toute poisseuse du foutre répandu…
Je me lève pour aller prendre une douche bienvenue… sous laquelle je ne tarde pas à être rejointe par mon loulou de banlieue !
Nous nous embrassons comme des furieux tout en nous lavant mutuellement…
Son sexe est de nouveau dressé devant son pubis…
À son âge… on est toujours prêt !
–Viens… J’ai encore envie et toi aussi visiblement !
–Oh oui… T’es tellement bonne et bandante ! Des meufs comme toi on en trouve pas souvent ! Je vais bien en profiter !
Nous regagnons la pièce à vivre où le lit nous tend les bras (si on peut dire…).
Je suis prête… ma chatte est déjà humide… quand au loulou, il se branle doucement pour faire monter la pression…
–Allez… Arrête de te masturber… Il y a mieux à faire ! Allonge-toi sur le lit… Ce matin c’est moi qui travaille et ne te couvre pas… J’ai envie de te sentir réellement !
En enjambant le loulou, je pense que dès lundi je ferai ce qu’il faut et je me laisse glisser sur son pieu qui m’ouvre la chatte… Humm ! Que c’est bon…
Et j’entreprends ce mouvement de va et vient face à lui… Il a la vision directe sur ma poitrine et mon pubis…
Qu’est-ce que je suis bien remplie… et je pense que je suis tombée sur un amant hors pair…
Que c’est bon de sentir ce membre mâle coulisser en moi… je suis de plus en plus excitée…
Ma chatte bave d’envie… et je profite…
Comme hier le loulou m’a fait partir deux fois sans débander, je fais pareil… Quand je sens que je vais jouir, je ralentis ma cadence puis je reprends… Lui aussi se retient… Quel baiseur !
Soudain, je n’en peux plus !
–Viens… c’est le moment !
–Ok… je t’attendais !
Et là… le bonheur total… Nous jouissons en même temps et je sens réellement son sperme s’écraser au fond de ma chatte…
À bout de souffle, je m’affale sur le buste de mon loulou… je presse mes seins contre les siens et nous nous embrassons, mêlant nos salives…
Quand il pose ses mains sur mes fesses, je lui dis doucement :
–MERCI… C’était très bon !
Nous avons fini le samedi dans les bras l’un de l’autre… et bien évidement nous avons remis le couvert dans diverses positions…
Quand il est parti… je l’avais asséché complètement et moi… j’avais la chatte qui débordait de foutre !
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