En retraite depuis quelques années déjà, pour me maintenir en forme je pratique deux sports de loisirs, la randonnée et la natation. A mon âge, il n’est plus question de faire des efforts inconsidérés mais une dizaine de kilomètres de marche en forêt à une allure soutenue sont suffisants plusieurs fois par semaine. Je commence à bien connaitre mes itinéraires de prédilection aussi je peux facilement me passer de carte. J’ai pris goût à la randonnée en forêt quand je me trouvais en région parisienne. Malheureusement pour trouver des parcours intéressants il fallait parfois faire de nombreux kilomètres en voiture, ce qui faisait perdre le bénéfice de cet exercice.
Dernièrement alors que l’été indien s’illuminait d’un grand soleil encore chaud, j’étais sur un de mes parcours lorsque mon attention a été attirée par des gémissements rythmés d’une femme en train de faire l’amour. Cela venait d’un bosquet situé un peu à l’écart du sentier, certainement un couple illégitime ou de rencontre qui voulait profiter de ce beau temps pour s’offrir une partie de baise au grand air. Coquin de nature et curieux, je me suis approché sans faire de bruit pour voir d’un peu plus près ce qui se passait.
Au détour d’un petit sentier tout juste praticable, j’ai effectivement aperçu une couple qui était en pleine action. La fille, une beurette je pense, était appuyée des deux mains contre une pile de tronc coupés et offrait ses fesses à l’homme qui la besognait puissamment. La peau très mate, des cheveux longs et frisés retenus par une pince, elle devait avoir environ 30 ans. Elle portait un chemisier rouge foncé ouvert laissant ses seins menus à l’air et une jupe ample relevée sur ses reins. L’homme, du même âge je pense, était un bel athlète brun certainement bodybuildé. Il tenait la fille par les hanches et, ayant déplacé le cordon du string sur une fesse, il entrait et sortait du sexe de la fille avec des mouvements amples. Sa bite longue devait aller au fond à chaque fois car la fille geignait à ce moment : plaisir ou douleur ?
Je restais à les observer à une dizaine de mètres, caché par le tronc d’un grand chêne. Je n’ai pas regardé ma montre mais ils sont bien restés dans cette position dix minutes. L’homme a soudain accéléré les mouvements au moment où la fille jouissait et d’une poussée encore plus brutale il s’est collé à ses fesses en bramant son plaisir. Ils sont restés ainsi de longues minutes, comme tétanisés par leur orgasme. Ils se sont désunis, la fille s’est retournée vers lui pour l’embrasser mais après un premier baiser, il a pris ses tétons entre les doigts, certainement en les pinçant durement, il a fait agenouiller la fille qui s’est retrouvée la bouche face à la bite à peine débandée. Elle savait ce qu’elle devait faire ! Nettoyer les sécrétions qui couvraient le sceptre.
Même si je ne voyais pas d’une manière très précise ce qu’elle faisait, les mouvements de sa tête montraient qu’elle alternait les aspirations profondes et les léchouilles sur la hampe qui ne débandait toujours pas bien au contraire.
Je restais toujours caché derrière mon arbre pour voir ce qui allait suivre. S’ils se rajustaient il serait toujours temps de retrouver la route forestière sur laquelle je marchais quand j’ai entendu les gémissements de la fille. Mais cela ne semblait pas devoir être le cas. L’homme, toujours le pantalon sur les chevilles, s’est adossé au tas de troncs, le sexe fièrement dressé. Il a repris la fille par les hanches pour la coller contre lui, la bite logée dans la raie des fesses. Il l’a ensuite prise en main pour l’introduire. J’ai entendu la fille s’écrier en tentant de se dérober, s’écrier :
- Non pas çà !
Mais c’était trop tard car il a repris les hanches à deux mains et son pubis est venu doucement se coller contre les fesses de la fille : elle était sodomisée ! Il a conservé la position pendant quelques instants puis avec de lents mouvements de va-et-vient, il a achevé de bien la pénétrer. A chaque fois qu’il venait buter contre les fesses de la fille, celle-ci relevait la tête, la bouche ouverte comme pour chercher de l’air. Finalement, elle a laissé descendre sa main droite à la hauteur de sa chatte pour caresser son bourgeon alors que la gauche pétrissait alternativement les deux seins. J’en avais assez vu. Dans mon boxer, ma bite était dure et dressée. Discrètement je me suis retiré et j’ai poursuivi mon chemin.
Le soir même je levais au restaurant une femme d’une quarantaine d’année qui dinait avec des copines. Blonde aux cheveux frisés avec une poitrine opulente comme je les aime, des yeux marrons lui faisant un regard de biche, elle a profité à retardement de l’excitation ressentie l’après midi et nous avons baisé comme des fous jusqu’au matin. C’est épuisés mais heureux que nous nous sommes quittés lorsque je l’ai reconduite au pied de son immeuble.
A lire également : Rachida, 39 ans, Beurgeoise, patronne et salope, La récompense
Laisser une réponse