Après notre séance hebdomadaire de piscine que j’ai terminée en sodomisant rapidement Malaurie dans la cabine vestiaire, nous rentrons en taxi à l’appartement. Nous avons largement le temps pour nous préparer avant de nous rendre dans ce club proche du Quartier des Halles où nous avons nos habitudes coquines une fois par mois en moyenne.
Après un repas rapide fait de mets susceptibles d’accroître notre libido, nous passons dans la salle de bains…
Je voulais me débarrasser des poils superflus en utilisant de la crème dépilatoire, notamment sur les aisselles et le devant de la poitrine… Je voulais également raser les poils qui poussaient sur mes bourses et le périnée… Je sais par expérience que certaines femmes n’aiment pas. Malaurie de son côté, rectifiait ses sourcils et sa toison qu’elle taillait habituellement en ticket de métro… Elle ne suivait pas la mode qui veut que toutes les jeunes femmes (ou presque…) n’ont plus de poils pubiens… Et j’aimais bien.
22 heures… Appel à une société de taxis avec laquelle nous avons un abonnement…
Moins d’une demi-heure plus tard nous dépose dans cette petite rue de ce quartier proche du Centre Pompidou. A quoi bon s’embarrasser d’une voiture ? Malaurie a mis une de ses nouvelles robes … Retenue par deux broches sur les épaules, le tissu plissé est maintenu à la taille par une ceinture assez large qui fait ressortir les hanches de ma copine… Le décolleté est vertigineux car les deux pans de tissu partant des épaules ne se rejoignent que sous une large ceinture souple, laissant apercevoir ses petits seins lorsqu’elle se penche un peu…
Le dos est aussi dénudé… et la robe s’arrête à a moitié des cuisses ! Je sais qu’elle ne porte qu’un minuscule string qui ressemble plus à un cache sexe… les cordons noués sur les hanches se perdant dans la raie de fesses ! Elle va avoir du succès mais je parie qu’elle ne gardera pas sa robe très longtemps. De mon côté, j’ai opté pour une chemise blanche largement ouverte sur mon torse, un pantalon noir sans rien dessous et des mocassins. Il est évident que nous nous étions couverts un peu plus pour faire le trajet…
Après avoir été introduits par un vigile à la carrure impressionnante et réglé les formalités d’usage (frais d’entrée et vestiaire), nous commençons par déambuler dans les différents locaux pour appréhender l’ambiance avant de revenir au bar pour prendre le cocktail qui va avec les frais d’entrée.
Malaurie me dit soudain :
- Je vais te faire une surprise… Depuis six mois, je m’entraine à la barre de pole dance de mon club de gym… Ce soir je me sens prête !
- Ok… montre nous çà !
Nous passons dans la grande salle où se trouvent un podium central, deux cages dorées et une barre. Dès que le couple de filles qui occupait le podium a achevé sa prestation, Malaurie s’approprie la barre de pole dance… Un spot l’éclaire aussitôt ! Sa robe tombe à ses pieds et désormais elle n’a plus sur elle que son string…
Elle entreprend son numéro et plusieurs couples s’arrêtent pour la regarder. Je ne sais pas qui a mis la musique en marche mais ma copine semble suivre le rythme… Elle se frotte lascivement contre la barre, de dos, de face et de nouveau de dos, se baisse et loge la barre entre ses fesses… Ensuite, elle commence véritablement sa danse, pirouettant, faisant des figures la tête en bas et les cuisses écartées… C’est torride !
Le final l’est encore plus lorsqu’elle effectue un grand écart sur la moquette rouge et dénoue les cordons de son string qu’elle m’envoie…
Les applaudissements crépitent et Malaurie me rejoint… intégralement nue à part ses escarpins aux talons démesurés !
- Coquine… Tu m’avais caché cela !
- çà fait pas mal de temps que j’avais envie de danser ainsi !
- T’as été géniale !
La robe et le string confiés à une des filles de l’accueil, nous poursuivions notre périple en descendant au sous-sol où se trouvent les bassins à remous, le sauna et le hammam, qui sont autant de lieux propices aux coquineries en tous genres.
Désormais je ne porte plus qu’un pagne en tissu éponge qui masque mon sexe… et quand nous nous glissons dans l’immense bassin rond incrusté dans le sol, je vois arriver deux noirs taillés en hercule, le sexe dressé avantageusement sur leur pubis.
- On peut vous rejoindre ?
- Oui bien sur, il y a de la place !
Mais ce que je n’ai pas vu venir… c’est qu’ils se placent de part et d’autre de Malaurie et passent chacun un bras autour de son cou Ils l’embrassent chacun leur tour et murmurent quelque chose à l’oreille de ma copine…
Je n’ai rien entendu… mais je comprends immédiatement ce qu’ils veulent quand l’un d’eux sort de l’eau pour s’asseoir sur le rebord du bassin en ouvrant largement ses cuisses et que Malaurie se redresse pour emboucher ce vit qui se présentait !
Waouh… Qu’il est long et généreux… Il ne fait pas mentir la réputation de certains noirs !
Et la bouche de ma copine va et vient sur ce mandrin, l’avalant au plus profond de sa gorge puis le ressortant pour titiller le gland du bout de sa langue avant de l’avaler à nouveau… Je vois les joues de Malaurie se resserrer pour bien pomper ce dard !
Pendant ce temps là, l’autre noir se relève lui aussi et il fait aller et venir sa bite entre les cuisses de ma copine… sans la pénétrer.
Il est moins bien membré que le premier mais sa bite est d’une longueur peu commune…
Nous sommes tous bien excités pas ce spectacle… Voir Malaurie une pine dans la bouche et l’autre encore entre ses cuisses, c’est dantesque…
Elle ne semble pas se refuser et elle va assouvir son fantasme d’être prise par un noir bien membré ! C’est bien parti pour çà !
Quand ils sortent du bassin, celui que Malaurie avait sucé s’allonge sur un des matelas de plage en couvrant son sexe d’un préservatif.
Il invite Malaurie à s’empaler sur son vit dressé vers le plafond.
Elle se laisse couler sur le sexe qui se dresse et le fait entrer dans sa chatte… Celui qui a la bite fine vient entre leurs jambes et se couvre à son tour.
Je le vois s’introduire lentement dans le sphincter de ma copine… et lorsqu’il est bien en place, les deux compères commencent leurs mouvements alternatifs : Malaurie réalisait ainsi un fantasme qu’elle avait avoué depuis un certain temps : se faire prendre en double par deux noirs solidement membrés… et elle était servie !
J’en avais vu assez… je suis sorti des lieux et je suis tombé nez à nez avec une fille que j’avais repérée dans la foule qui regardait le spectacle à la barre. Certainement une métisse asiatique…
- T’es seul ?
- Oui, ma copine est en mains… je veux dire en train de se faire baiser en double !
- Ok… Oui… J’ai vu… alors je vais m’occuper de toi !
- Quel est le programme !
- Tu verras bien… suis moi !
Comment ne pas suivre cette jeune femme… Environ 35 ans, de longs cheveux noirs descendant entre les épaules, elle semble faite au moule : Ses fesses bien galbées au dessous d’une taille étroite, de longues jambes avec un tatouage représentant un serpent partant du genou droit et remontant jusqu’à la taille après s’être enroulé sur sa cuisse droite…
Devant, elle a un visage aux yeux marron, rieurs et légèrement en amande… Son nez un peu épaté domine une bouche aux lèvres minces qui, quand elles s’ouvrent laissent voir de magnifiques dents à l’ivoire étincelant !
Comment une femme aussi jolie pouvait être seule ? Qui était son chevalier servant ? Je m’en moquais… N’avait-elle pas jeté son dévolu sur moi ?
- Viens… Là, nous serons au calme… Personne ne viendra nous déranger !
En fait, elle me guide vers une des cabines de sauna sur la porte de laquelle est fixée une étiquette « EN PANNE » !
Nous entrons… et aussitôt « Boontan » (puisque c’est le prénom qu’elle a indiqué) se met à genoux devant moi et embouche mon sexe à demi bandé.
Waouh… Que sa bouche est chaude… et quelle fellation savante ! Elle suce ma queue, l’engloutis progressivement au plus profond de sa bouche pour en arriver à une gorge profonde… Elle gonfle et dégonfle ses joues en aspirant ma bite puis elle la rejette pour agacer le gland du bout de sa langue…
En moi-même je pense à Malaurie qui passe auprès des hommes pour une fameuse pipeuse… mais là, elle est battue !
Mais ce n’est pas tout ! Boontan me fait m’allonger sur une des banquettes et place la serviette en éponge qui ma servait de pagne sous ma nuque.
- Comme çà, tu seras mieux… Tu verras mieux comment je vais me baiser sur ta bite ! Et tu vas jouir comme jamais !
Elle m’enjambe en me tournant le dos, saisit ma verge d’une main et s’abaisse lentement… Je vois mon sexe s’enfoncer doucement dans le sien bien ouvert par sa position… J’entre facilement car elle est très mouillée… Sa cyprine goutte autour de ma bite au fur et à mesure qu’elle s’enfonce dans son vagin.
Elle pose ses mains sur mes genoux et commence à monter et descendre sur mon sexe… C’est elle qui se baise… et c’est bon…
Quand je suis bien fiché dans sa chatte, je sens ses muscles intimes malaxer l’extrémité et le gland… Je ne retiens de jouir trop vite mais qu’est ce que c’est bon !
Chaque fois que ses fesses s’écrasent sur mon pubis, je distingue son œillet plissé qui s’ouvre… et quand elle remue la tête, ses longs cheveux balaient ses épaules…
Si Malaurie s’en paie une bonne tranche avec ses deux blacks, je satisfais aussi un fantasme qui me poursuit depuis le lycée… Faire l’amour avec une asiatique… Là, je suis comblé… même si Boontan était métissée, elle était bonne !
L’ambiance dans ce club et ce que faisait Boontan n’arrangent pas ma libido… Je sens ma jouissance monter dans mes reins mais je la retiens… J’attends que ma cavalière jouisse pour prendre mon plaisir en même temps qu’elle…
Elle ne tarde d’ailleurs pas !
Un rugissement de fauve s’élève et Boontan s’appesantit sur mon pubis pendant que je déverse d’abondantes giclées de sperme…
La joute a été rude… mais j’ai encore des réserves…
Après tout, ce n’est que ma troisième fois de la journée !
- Ne t’avais-je pas dit que ce serait bon ?
- Si… mais je ne m’attendais pas à cela ! Tu t’es bien envoyée en l’air et moi, j’ai joui comme rarement ! Depuis le temps que j’avais envie de me faire une asiatique !
- Et alors…
- Tu as été championne… Tu t’es baisée toi-même… Je n’ai pas eu d’initiative !
- Je savais… je t’ai vu quand ta copine dansait… Ton regard venait sur moi trop souvent… J’avais une touche !
- Et tu m’as ferré ! ! ! !
Là-dessus, Boontan éclate de rire et nous sortons de la cabine…
Lorsque Malaurie et moi quittons le club vers quatre heures du matin, nous avons eu ce que nous voulions : nous éclater sans arrières pensées… L’un et l’autre, nous avions assouvi un fantasme ca qui ne nous avait pas empêché de baiser chacun de notre côté plusieurs fois au cours de la soirée…
Heureusement… C’est le weekend…
Nous allons nous reposer… à moins que…
Le petit déjeuner du dimanche matin, nous avons remis le couvert et j’ai baisé Malaurie avec beaucoup de tendresse.
A lire également : J’ai envie de sucer ta queue , Un coin à câlin plein de surprises
Laisser une réponse