J’avais 18 ans et à l’époque je n’avais jamais eu la chance de me faire sucer jusqu’à jouir dans la bouche de ma partenaire. Il s’avère que j’avais (et je l’ai toujours) également un léger mais parfois intense fantasme pour les manteaux de fourrure (fausses et épaisses de préférence ). J’en ai donc parlé à Estelle que j’ai rencontrée dans un bar et qui brûlait de désir pour moi. Je me suis donc rendu chez elle, un soir d’hiver Sceaux (une ville de banlieue aisée située dans les Hauts de Seine). J’avais terriblement envie de goûter à sa bouche et de voir sa langue jouer avec ma queue avec sa fourrure sur ses épaules.
Elle m’a accueilli, deux verres de vin aux mains. Je me suis assis sur son canapé et après s’être chauffés, elle est allée chercher sa belle fourrure noire. Elle s’est agenouillée, m’a ouvert les jambes et à déboutonné mon pantalon pour en sortir ma queue. Sa langue sur mon gland, ses mains douces sur mes boules et ses ongles sur mon torse. Elle m’a sucé comme pas permis, pendant 15 longues minutes d’extase.
Elle est même allée au delà de mes espérances en me branlant avec ses manches et en me regardant droit dans les yeux pendant que sa bouche et sa langue me rendaient dingue. Elle m’a laissé finir au fond de sa gorge et c’était pour moi à l’époque la sensation de jouissance la plus forte. Elle était ravie et folle de ce qu’elle goûtait et me le faisait savoir. Le bout de sa langue qui jouait avec le bout de mon gland, je m’en souviendrai longtemps !
A présent mon faible pour les fellations est intact. Georges, 54 ans, Cannes.
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