Marie a aujourd’hui 46 ans blonde, parfois cheveux courts, parfois cheveux longs, suivant son humeur, (et j’avoue aimer ce changement toujours inattendu), sexy, elle mesure 1m65, de petits seins , des fesses somptueuses. Sa peau est d’une douceur exquise, et j’aime qu’elle soit toujours très séduisante.
Moi, Patrick, j’ai 47 ans, chatain, 1m70 pour 65 Kgs, donc mince, de caractère très enjoué, toujours prêt à faire la fête, ma queue fait environ 16 à 17 cm en érection pour un diamètre de 4 cm environ. Donc rien d’exceptionnel, tout en étant raisonnable.
Nous sommes ensemble depuis environ 1 an lorsque j’ai commencé à avoir envie de varier ses plaisirs. Je lui en ai parlé pendant plusieurs semaines. Elle était d’abord contre, puis peut-être, puis d’accord… Nous avons décidé ensemble à qui nous allions demander de venir « jouer » avec nous. Il s’agissait d’un vieux copain à moi, Gilles, de notre âge, et avec qui j’avais eu l’occasion, avant de rencontrer Marie, de pratiquer le trio avec lui et sa femme. J’en avais gardé un super souvenir et j’avais très envie de recommencer, mais cette fois avec MA femme.
Je l’ai prévenu et il s’est empressé d’accepter. Marie fait toujours sensation et je savais qu’elle lui plairait.
Un samedi soir, il arrive chez nous, les bras encombrés d’un bouquet de fleurs somptueux qu’il offre à Marie. Ma belle épouse avait passé l’après-midi dans la salle de bains à se faire belle, et elle portait une saharienne transparente blanche, avec un string en dentelle blanche. On apercevait ses seins au travers de l’étoffe légère, et, bien sur, sa petite culotte…
Gilles a eu un regard gourmand lorsqu’il l’a découverte ainsi vêtue, et nous sommes passés directement à l’apéritif. Gilles était assis dans un fauteuil du salon, moi-même en face de lui dans le canapé, et Marie, timidement, s’était assise sur un coussin à mes pieds. De cette façon, tout en parlant avec mon ami, je lui caressais la nuque, le cou, mais aussi je pouvais plonger la main dans le décolleté de la saharienne et lui caresser les seins, ce dont je ne me privais pas.
Nous avons, bien sûr, bu un peu plus que de coutume, car nous étions tous les trois un peu tendus, un peu crispés. Marie nous invita à passer à table, et nous prîmes place Gilles à sa droite et moi à sa gauche.
Pendant le repas, je glissais ma main sur ses cuisses, remontant la saharienne très haut, et Gilles, qui n’osait pas encore bouger, profitais du spectacle. J’étais soumis à de drôles de sentiments, d’une part l’excitation grandissante qui me gagnait (mon pantalon était décidement trop petit !!!), et la jalousie qui perçait quelque part au fond de moi. Je me suis penché vers ma femme et je l’ai embrassée à pleine bouche, tout en faisant comprendre d’un battement de cils à Gilles qu’il pouvait faire ce qu’il souhaitait, et je fermais les yeux. Marie se mit soudain à gémir de façon plus saccadée, plus rapide. J’ouvris les yeux et je découvris la main de Gilles qui se promenait sur les seins de ma femme. Il agaçait leurs pointes sensibles, les caressait du plat de la main, puis il approcha sa bouche de ses cuisses et, remontant la saharienne, il commença à embrasser la peau nue à la limite du string. Marie se laissait faire en s’accrochant à moi, les yeux clos. Sous la caresse elle ouvrit les jambes et Gilles se précipita au carrefour de ses jambes, glissant sa langue sur la peau si douce, embrassant sa chatte à travers le tissu…
Moi j’étais dans un état catastrophique. Ma queue me faisait mal tant elle était tendue, et j’avais l’impression qu’un souffle me ferait exploser…
Gilles se redressa, et Marie resta les jambes ouvertes, entre nous deux, un peu étourdie par son plaisir. Elle posa alors ses mains sur nos braguettes respectives, et dans un même mouvement, Gilles et moi firent sortir nos queues de leurs prisons. Marie s’empressa d’en prendre possession et elle nous masturba ensemble, un dans chaque main. Nous étions tous deux à l’écoute de ses caresses, gémissant lorsqu’elle griffait nos tiges rigides, ou lorsque ses doigts énervaient nos glands gonflés à bloc. Pendant ce temps, nous la caressions, promenant nos mains sur tout son corps, de ses seins à son ventre, pour lui arracher à notre tour des soupirs de plaisir…
Puis, histoire de réagir, je décidais d’aller chercher une nouvelle bouteille de vin. Je me relevais donc et sortis de la salle à manger, mais je gardais un œil sur la scène, pour voir… Gilles embrassa alors Marie sur la bouche, puis il appuya sur sa tête pour la faire descendre vers sa queue. Marie eu un mouvement de recul, mais se ressaisit très vite et je vis sa bouche prendre possession de la bite de mon copain. Quel spectacle !!! je voyais les levres adorées monter et descendre sur la tige de l’autre, se jouer du gland d’un coup de langue, pour redescendre engloutir la queue dure et chaude qui n’était pas la mienne… Gilles avait fermé les yeux et se délectait de l’attention que lui portait ma femme. Tout en subissant ce délicieux assaut, il caressais les fesses de Marie, sa main étant passée sous l’élastique du string, et plus Marie le suçait, plus il empoignait les fesses merveilleuses, glissant un doigt entre les globes soyeux. En regardant ma femme et mon copain, j’avais commencé à me branler, je n’en pouvais plus, l’excitation était terrible et la jalousie de plus en plus pernicieuse…
Gilles, soudain, redressa Marie. Il était au bord de l’explosion et souhaitait souffler un peu. C’est le moment que je choisis pour revenir dans la pièce, toujours dans un état lamentable, la queue hors du pantalon, le rouge aux joues, presque en tremblant.
Marie se précipita sur ma queue et entrepris de me faire subir le même sort (délicieux, il faut bien le reconnaître !! ), Gilles se contentant cette fois de regarder, mais bien vite Marie repris son petit manège et tandis qu’elle me suçait comme jamais, elle le branlait doucement, le maintenant au bord de l’apoplexie…
Après avoir profité de ses caresses, je fis relever ma femme et je l’entrainais vers notre chambre, faisant signe à Gilles de nous suivre, ce qu’il fit sans se faire prier, croyez-moi. Une fois dans la chambre, je plaçais Marie entre nous deux, Gilles derrière et moi devant elle. Je me baissais pour faire rouler le string sur ses cuisses tandis que Gilles relevait et enlevait la saharienne, puis nous fîmes de même et nous nous retrouvâmes nus tous les trois. Gilles avait glissé sa queue contre les fesses de Marie et il lui embrassait le cou tout en lui caressant les seins, tandis que j’embrassais Marie sur les lèvres et glissais ma queue contre sa chatte trempée. Elle gémissait de plus en plus fort, se cambrait sous les caresses, nous la fîmes glisser sur le lit et là, nous entreprîmes de lui donner un plaisir maximum, la caressant partout, ne laissant pas un centimètre de peau sans un baiser, sans une caresse, sans un coup de langue. Je glissais à l’orée de sa chatte et, ouvrant ses jambes, je plongeais ma langue dans la grotte des délices offerte à ma gourmandise, pendant que Gilles replaçait sa queue dans la bouche de ma femme. Je n’en pouvais plus d’un pareil spectacle, aussi je relevais les jambes de Marie et je l’embrochais comme un fou, la pilonnant toujours plus fort et plus loin, avec sous les yeux sa bouche qui avalait la bite de l’autre, et qui me provoquait des décharges monumentales dans les reins. Mon plaisir vînt trop vite à mon goût, et je me vidais dans son ventre, déchargeant jusqu’à la dernière goutte de sperme dans sa chatte inondée. Marie avait joui aussi, et elle délaissa la queue de Gilles pour reprendre ses esprits.
Gilles prit alors ma place et commença à la lécher, l’intérieur des cuisses, la chatte, plongeait à son tour sa langue au fond du sexe aimé, et très vite Marie se cambra sous la caresse. Il se redressa alors et plongea sa queue dans le sexe de ma femme, lui arrachant un cri de bonheur, et il commença à la limer, d’abord tout doucement, mais bien vite il accéléra et la pilonna à son tour profondément. Marie me branlait en hurlant des mots décousus : c’est bon, continue, Patrick je t’aime, je t’aime, … et elle joui violemment, me serrant dans ses bras, la queue de Gilles continuant à la limer sans arrêt.
Nous avons refait l’amour trois fois ce soir là, multipliant les caresses et les baisers, puis Gilles du rentrer chez lui et Marie se jeta dans mes bras :
– fais moi l’amour, je t’aime à la folie
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