Avec ma copine Malaurie, nous allons à la piscine chaque vendredi soir. Généralement nous nous retrouvons après la journée de boulot. Nous en profitons pour nous offrir une séance de sauna ou de hammam suivant nos envies. Tous deux âgés de 25 ans. Malaurie travaille à l’hôtel Concorde La Fayette (bien qu’il ait changé de nom nous n’arrivons pas à nous y faire…). Je travaille pour un grand groupe d’assurances à La défense. Nous avons des postes intéressants et le salaire qui va avec…
18 h 30… Lorsque j’arrive à la cafétéria de ce centre aquatique situé près de la Place Balard, j’échange avec Malaurie les potins de la journée. Puis nous passons dans les vestiaires pour nous mettre en maillot ! Je passe volontiers sur les longueurs de bassin et les sprints pour voir qui avait encore des réserves et aussi sur le passage dans le sauna qui nous a permis d’éliminer les toxines accumulées.
Nous nous sentions en forme au point que nous envisagions un weekend coquin dans un de nos établissements de prédilection à proximité du quartier des Halles. C’est en arrivant aux vestiaires que tout s’est compliqué…
Sexe rapide dans les vestiaires
Il n’y avait aucune cabine disponible pour nous changer. Nous attendions nos vêtements à la main quand une cabine s’est enfin libérée…
- Allons-y… C’est le moment où jamais !
J’ai poussé Malaurie devant moi, chose que je n’aurais jamais du faire : je lui ai mis une main aux fesses pour la faire entrer dans cet étroit réduit.
Nous avons quitté nos maillots et j’ai commencé à essuyer le corps de Malaurie pour enlever toute trace d’humidité…
Je taquinais ses petits seins aux tétons proéminents quand elle s’est retournée vers moi et a jeté un coup d’œil vers le bas :
- Dis donc mon coquin… Tu m’as l’air en forme !
- Oui… Même si je t’ai baisée ce matin au saut du lit, j’ai encore envie de toi !
- Mais t’en as jamais assez !
- C’est comme toi… Je sais ce que tu caches soigneusement dans ta table de chevet !
- Tu sais çà ? Je croyais que c’était mon secret !
- Tu sais au bout de deux ans, je crois que nos n’en avons plus beaucoup !
Ce dialogue rapide tenu à mi voix n’a rien fait pour arranger les choses… Je bandais de plus en plus et quand Malaurie s’est agenouillée devant moi et a avalé ma bite jusqu’au fond de la gorge, je n’ai pas pu m’empêcher de poser ma main sur sa tête pour lui donner le rythme de sa fellation !
Elle a achevé de me mettre en forme et a recraché mon sexe pour me tourner le dos et s’appuyer contre la paroi en disant à voix basse :
- Prends moi, j’ai trop envie !
- Devant ou derrière ?
- Où tu veux mais prends moi ! Vite… j’ai trop envie !
Je suis allé prendre de la cyprine qui s’écoulait abondamment de sa chatte et j’ai enfoncé deux doigts dans son sphincter…
Une sodomie express
- Oh oui… prends moi le cul ! Ouvre-moi bien !
J’ai plié mes jambes pour être à la bonne hauteur et j’ai enfilé Malaurie au plus profond de ce que pouvait notre position…
Je la maintenais aux hanches et j’allais et venais dans son boyau étroit en veillant à ne pas faire de bruit… Mais c’était tellement bon cette enculade un peu sauvage que je n’ai pas résisté longtemps et je me suis épanché dans le préservatif pendant que Malaurie étouffait sa jouissance en mettant une main sur sa bouche !
Nous allions être en forme pour la soirée projetée !
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