Cette histoire est très banale…
Là où elle s’est passée, rien ne saurait étonner tant l’ambiance y est chaude… mais il faut attendre la fin d’après midi quand les corps ont bien pris le soleil. L’été dernier, j’ai voulu faire découvrir à ma copine du moment ce qu’étaient les plages naturistes. J’avais hésité quelques temps puis, finalement je m’étais décidé pour le Cap d’Agde où j’étais déjà allé.
Je verrai bien si elle n’est pas trop effarouchée…
Je la sais quelque peu exhibitionniste… alors… un peu plus ou un peu moins…
A trente ans comme moi, elle porte habituellement des jupes « ras la touffe » et des décolletés plongeants si bien que lorsqu’elle se penche un peu, on voit distinctement le sillon entre ses seins. Elle est toujours perchée sur des chaussures à plate forme d’une hauteur démesurée (à mon avis..) et lorsqu’ elle marche devant moi, voir sa croupe se balancer est un ravissement : C’est plus d’une fois que des mecs se sont retournés sur elle ou l’ont sifflé d’admiration.
Mais avant d’aller plus loin, laissez-moi décrire Dorothée… Elle est brune aux cheveux coupés courts qui dégagent la nuque. Elle est juste un peu plus petite que moi (sans ses talons bien sur…), elle a un visage ovale allongé et de grands yeux bleu foncé… Sa bouche fait toujours une petite moue boudeuse que je trouve charmante. Elle a une poitrine bien ronde et haut perchée (90 B) une taille fine et souple d’ancienne danseuse et des hanches bien proportionnées.
De mon côté, j’avoue être banal mais comme je fais du sport, je suis très en forme… De mes origines latines, j’ai la peau naturellement brune et les cheveux d’un noir de jais.
Il est évident qu’à notre âge, Dorothée n’est plus une oie blanche et de mon côté, j’ai multiplié les conquêtes, allant même jusqu’à avoir une liaison avec un mec de dix ans plus vieux quand je sortais du lycée…
Nous avons un bon métier tous les deux… Dorothée dans une boîte de pub et moi, dessinateur dans un grand cabinet d’archi’ !
Ces deux semaines passées à nous dorer sur la plage de sable au bord de la Méditerranée vont nous faire du bien… En juillet, il n’y aurait pas trop de monde… Seuls les touristes allemands et hollandais et quelques suédois seraient arrivés… ces grands amateurs de nudité et de soleil…
Les bagages bouclés, nous nous accordons un peu de repos avant de prendre la route… Partir de Paris le vendredi soir vers minuit, cela nous a paru raisonnable… Nous échapperions au plus gros des bouchons et en nous relayant au volant, nous serons arrivés vers midi…
Bien joué… Nous arrivons juste avant midi… et nous prenons rapidement nos marques dans le bungalow réservé depuis le mois de janvier… Les lieux sont sympa’ noyés dans la verdure des palmiers et des lauriers roses qui sont en pleine floraison. Les habitations sont disposées de manière à ce qu’il n’y ait pas de vis-à-vis direct, notamment au niveau des terrasses extérieures.
La jeune femme qui est venue nous installer met la clim’ en route et nous souhaite « BON SEJOUR » avant de s’éclipser.
Dorothée me dit alors :
- J’ai sommeil… en plus il fait trop chaud… on ira voir après…
- Comme tu veux… Pour moi, je sais comment est disposé le camping… nous ne sommes pas loin de la plage, à peine 5 minutes à pied !
- Waouh… la plage de sable, la mer et le soleil… Tout ce qu’il faut pour être bien !
- D’accord avec toi… et en plus la liberté totale ! Nus toute la journée sauf dans certains lieux…
- On verra !
- Mais c’est tout vu… Tu veux lire le règlement du camping ? Il n’est même plus question de porter le « MINIMUM » comme il y a quelques années !
Quelques heures plus tard, c’est la fraîcheur de la clim’ qui nous réveille…
- On y va ?
- Oui… mais dis donc, tu es bien pressé de te rincer l’œil ! Je ne te suffis plus ?
- Mais si… c’est toi qui va semer la révolution dans le camping et sur la plage ! Les mecs vont fantasmer sur ta jolie poitrine bien ronde !
- S’il n’y a que çà pour les contenter…
De mon côté, j’ai déjà opté pour la tenue réglementaire… c’est-à-dire la nudité totale avec juste une pochette en tissu avec un cordon passée autour du cou… (Il faut bien mettre les clés et l’argent quelque part !), Dorothée ne porte qu’un petit string en tissu éponge dont le cordon lui barre les hanches et se perd entre ses fesses. Je sais qu’elle n’ose pas montrer la toison de son pubis…
Sur la plage, il y en a pour tous les goûts… les familles avec enfants, des femmes plus ou moins jeunes mais toutes déjà plus on moins bronzées, des mecs à l’allure sportive aux chauves bedonnants… Des hommes et des filles en couples ou en bande… Tout le monde s’ébat dans le plus simple appareil… Il n’y a guère que quelques gamines à peine pubères pour porter une culotte de maillot… Aller savoir pourquoi !
Des couples (légitimes ou non) flirtent outrageusement à l’abri des coupe-vent pour un peu de discrétion… Bref, l’ambiance est au beau fixe !
Nous posons nos serviettes de bains et nous plongeons dans l’eau bleue de la Méditerranée… Nous avons pied pendant une longue distance et lorsque nous arrivons au bout, je vois Dorothée se tortiller puis s’approche de moi pour m’enlacer en levant bien haut son bras droit avec son maillot noué autour du poignet…
- Surprise !
- Oui… mais je m’y attendais un peu !
- Coquin, tu savais ce que tu faisais en m’amenant ici…
- Depuis deux ans, je connais bien ton côté « EXIB’ » et provocatrice… C’est ce qui m’a plu quand nous nous sommes rencontrés à Djerba ! Tu faisais des ravages parmi les mecs !
Cette coquine se frotte à moi dans l’eau… elle passe ses bras derrière mon cou et elle vient nouer ses jambes autour de mes reins… et ce qui devait arriver, arriva… Je bande et elle se laisse glisser sur mon sexe qui se loge au fond du sien.
Quand nous ressortons de l’eau, Dorothée ne semble plus faire cas de sa nudité totale mais le soir, en regagnant le bungalow, elle me dit que de voir toutes les femmes avec la toison taillée de diverses formes ou carrément rasées, cela lui donnait envie d’en faire autant…
En une après midi, elle avait opté pour la « tenue » réglementaire et voulait imiter les autres femmes en taillant sa toison, cette peu abondante mais qui avait besoin d’être disciplinée.
Je passe volontiers sur l’épisode chez une esthéticienne du cru pour l’opération « foufoune taillée »… qui nous a valu un bon délire lorsque nous sommes rentrés au bungalow.
Quelques jours plus tard, nous faisons une longue promenade sur la plage en direction des petites dunes que nous apercevons à l’horizon… lorsque nous rencontrons un couple qui arrive vers nous et nous demande si nous connaissons un coin discret.
Devant notre réponse négative, j’offre d’en rechercher un ensemble…
La blonde sculpturale réagit aussitôt :
- Oh oui, ce serait génial… Nous allons trouver plus vite !
Elle parle avec un accent germanique prononcé et elle-même et son mec sont aussi blonds que Dorothée et moi sommes bruns !
La fille ressemble au portrait que l’on fait des Walkyries… Elle est grande (plus que moi), ses longs cheveux blond naturel se répandent sur ses épaules et descendent pratiquement sous sa poitrine qui s’affaisse un peu sous le poids de ses globes… Elle a un visage ovale avec de grands yeux bleus clairs, un petit nez mutin et une bouche aux lèvres pulpeuses… Ses hanches sont un peu larges sous une taille fine ornée d’une chainette dorée.
Son mec n’a rien à lui envier… (et je fais pâle figure en face de lui…). Blond comme les blés murs, il doit faire au moins un bon mètre 85… et il a une carrure et des muscles d’un adepte des salles de sport. Ses muscles sans être hypertrophiés, sont bien dessinés.
Si mon regard semble être hypnotisé par la blonde germaine, je surprends les coups d’oeil en coin de Dorothée sur la plastique de notre nouvel ami…
Kate et Sven marchent à notre hauteur à une dizaine de mètres sur notre droite quand Kate s’écrie :
- Ich habe gefunden (j’ai trouvé).
Effectivement, au milieu des oyats et des genets, nous trouvons un creux dans la dune, très propice pour abriter les amours d’un couple ou plus…
Au moment où Dorothée et moi allons nous éloigner, Kate nous dit :
- Ich will dich hier und gleich, du kleine Franzose… Ich will Sex mit dir !
Je comprends immédiatement ce que Kate veut… Elle veut que je la baise « ICI et MAINTENANT » !
L’attaque est directe… et je suis surpris quand Dorothée me dit :
- Vas-y… Elle te fait envie… Moi, je vais me taper Sven pendant ce temps !
Aussitôt elle s’approche de notre nouvel ami, lui prend le sexe en main et l’attire quelques mètres à l’écart.
Puisque c’est parti ainsi… pourquoi se gêner. J’étale ma serviette sur le sable et Kate s’y allonge en ouvrant largement ses cuisses. Elle dévoile ainsi son abricot tout rose, aux lèvres charnues légèrement pendantes. Elle a vraiment envie que je la baise… elle ouvre ses lèvres vaginales de ses deux mains et me dit de venir !
Ah… elle a envie d’un français… Sans me vanter, je passe pour un bon amant… Elle va voir ce qu’elle va voir.
Je m’agenouille entre ses cuisses et je me penche sur sa fourche intime… J’embrasse le capuchon et je fais sortir le clitoris qui saille aussitôt… Ma langue va et vient entre les lèvres et Kate mouille de plus en plus en me disant mélangeant l’allemand et le français :
- de continuer,
- que ce que je lui fais est bon,
- que ma langue va la faire jouir…
Je ne peux pas parler, mais c’est ce que je veux : l’envoyer en l’air une première fois avant de la baiser !
Moins de cinq minutes plus tard Kate emprisonne ma tête entre ses cuisses et pousse un rugissement en jouissant… Elle libère dans ma bouche quelques jets de cyprine au goût douçâtre.
Je bande comme un taureau… les 20 cm de ma bite sont dressés devant mon pubis et Kate me tend les bras :
- elle veut que je la baise à fond…
- qu’elle veut voir mon jus sortir…
C’est vrai, nous n’avons pas de capotes aussi, je devrai m’épancher au dehors mais qu’à cela ne tienne : elle a une paire de seins propices à une cravate de notaire… je sens que je vais être bien entre ses globes pour me vider les couilles.
J’entre doucement dans son sexe offert et je commence à la baiser, lentement puis de plus en plus vite… Je fais claquer mon pubis contre le sien, cherchant à perforer Kate au plus profond…
Elle m’encourage toujours en me traitant de tous les noms alors que sa tête part dans tous les sens…
Elle n’est pas loin de jouir et je me retiens… Je veux qu’elle parte une seconde fois avant de venir placer mon sexe entre ses seins généreux…
Dès que sa jouissance est assouvie, je me retire et rampant à moitié sur le corps de cette belle allemande, je viens placer mon sexe entre les globes de sa poitrine. Elle les resserre et presse ma bite entre ! Après quelques allers-retours, j’inonde son cou et le bas de son visage de belles giclées de sperme…
Cette salope les ramasse du bout de ses doigts qu’elle porte à sa bouche…
- Oh Gott… schmeckst du gut !!!
En même temps, nous nous tournons vers Dorothée et Sven pour voir où ils en sont… A quelques mètres de nous, Dorothée est à quatre pattes et Sven, derrière elle, lui pilonne les fesses avant de faire comme moi… Il décharge généreusement sur les reins et le dos de ma compagne !
Nous nous approchons d’eux et alors que Kate embouche la bite de son homme pour en tirer les dernières gouttes, j’en fais autant avec Dorothée en lui présentant mon sexe à sucer…
Nous en avons assez pour l’instant… Tous les quatre nous gagnons la plage où nous nous trempons rapidement avant de regagner le camping ou l’immeuble dans lequel Kate et Sven ont leur appartement…
Rendez-vous est pris pour y continuer la soirée !
Ecrit par le Matou Libertin
A lire également : Un coin à câlins plein de surprises , Club libertin volume 5
Laisser une réponse