On est déjà au vendredi soir, et la semaine est passée sans que je m’en rende compte. J’ai passé tout mon temps à la mettre en condition, mais aussi à m’imaginer tout ce que j’allais lui faire. Elle, c’est la fleuriste et l’on s’est rencontré pour la première fois le lundi lorsqu’elle est venue faire sa livraison chez nous au travail.
La provocation
Si dès le départ elle a été réticente à me livrer son numéro de téléphone, j’ai réussi à la convaincre en me servant de l’astuce selon laquelle il servirait à lancer une nouvelle commande. Je lui ai donc fait des compliments sur sa ponctualité, mais aussi sur ses jolies lèvres et tout ce qu’elles pouvaient faire. J’ai bien senti à son sourire que ma remarque lui fait déjà son effet. Je n’ai pas perdu mon temps et lui ai envoyé par message mes impressions sur ses fesses qui me provoquaient et sa poitrine à laquelle j’aimerais bien m’abreuver. Je lui ai dit qu’elle m’évoquait des images de femmes libertines nues en vidéo et que je donnerai cher pour la revoir. Sa réponse m’a interloqué lorsqu’elle me demande dans sa réponse : « que ferrais-tu à mes fesses ? » Je bandais déjà fort rien qu’à l’idée de tenir ses fesses entre mes mains, de les masser et de sentir leur fermeté. Je n’ai pas résisté à l’envie de passer par les toilettes pour décharger le trop-plein de vigueur qui chatouillait mon entrejambe avant de lui raconter ce que je venais de me faire. Elle répondit qu’elle avait fait pareil dans son magasin avant de retourner à ses livraisons.
Revenons au vendredi soir
Si les derniers jours de la semaine m’ont paru interminables, c’est juste parce que Géraldine (c’est comme ça qu’elle s’appelle) a accepté venir chez moi le vendredi soir. Avec la multitude de messages qu’on s’est échangés, il n’y avait plus aucune ambiguïté à propos du programme de ce soir.
J’ai donc quitté le travail plus tôt que prévu en faisant un crochet par la pharmacie pour renouveler mon stock de Durex, mais aussi pour prendre des vitamines. J’ai fait un brin de ménage avant de passer deux bons quarts d’heure à me faire beau.
La sonnerie a retenti, et mon cur a commencé à battre plus fort. J’ai ouvert la porte, et elle était là dans son manteau en cuir beige. Lorsqu’elle s’est débarrassée de son survêtement, elle était entièrement nue en dessous. Je l’ai plaquée contre la porte pour prendre ses lèvres et l’embrasser fougueusement. Au même moment, ma main entre ses jambes fouillait sa chatte humide tandis qu’elle gémissait sous mes assauts. Sans changer de position, elle s’est saisie de ma bite, a soulevé une jambe, puis l’a glissé en elle dans un ronronnement de chat satisfait. J’ai fait quelques mouvements avant de me retirer, puis je l’ai retournée contre la porte pour avoir un meilleur aperçu de ses fesses. Je me suis introduit en elle, et en m’agrippant à sa hanche, j’ai commencé à la chevaucher. Après quelques instants, je l’ai sentie trembler entre mes mains, puis jouir tandis qu’elle s’accrochait à la poignée de la porte pour ne pas vaciller. J’ai continué de plus belle avec mon pubis qui venait battre ses fesses comme une cadence et ma main qui titillait le bout de son sein. Entre deux gémissements, elle m’a prévenu qu’elle venait à nouveau avant de s’affaler à quatre pattes sur le sol pour me prendre dans sa bouche.
La soirée promettait déjà beaucoup pour moi.
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