Il est inutile de s’étendre sur la séance de plongée sous marine orchestrée par Bruno…
Après avoir enfilé des combinaisons, ma mère, Myriam et moi, nous sommes harnachées par Serge, le second marin pendant que le capitaine nous donne ses directives avant de plonger avec nous.
Nous passons près d’une heure à quelques mètres de la surface à observer les poissons multicolores, les anémones de mer et les coraux…
Quand nous remontons, il est presque l’heure du repas…
Cette plongée m’a ouvert l’appétit… c’est l’estomac bien garni qui je m’affale ensuite sur le matelas de plage du sundeck.
La partie d’hier soir et la plongée : ça fatigue !
Un certain temps passe… Myriam m’interpelle au moment où elle me rejoint :
• Tu as envie de rôtir ? Ce n’est pas prudent de dormir ainsi… Tu ne sens pas la brûlure des rayons !
• Oui, tu as raison !
• Tu vas m’enduire le dos de crème solaire et je m’allonge près de toi !
• OK… çà marche… Fais m’en autant car je sens que çà picote un peu !
Et là… Surprise, ma copine ôte le bas de son bikini et m’apparait dans sa nudité intégrale !
• Dis donc, tu ne m’avais pas dit que tu te raserais la foufoune !
• Non, en fait, je suis allée voir une esthéticienne samedi matin et c’est elle qui l’a fait ! Sachant que nous allions passer deux semaines sur le bateau et loin des regards, j’en ai profité.
• Et le regard de mon père et des marins ?
• Bof… je n’y ai pas pensé !
• À d’autres… J’ai bien vu comment tu allumais mon père !
• Tu crois ?
• Je sais que de temps à autre, tu t’envoies des hommes murs… Ne joue pas l’innocente… J’ai bien vu ce que tu faisais en le remerciant… Si çà, ce n’était pas une invit’ à passer à autre chose !
• Je sais que tes parents sont libertins… S’il veut me baiser, je ne dirai pas NON !
• Ah bon… Et depuis quand sais-tu cela ?
• C’est Ludovic notre copain de la fac de médecine qui m’en a parlé. Il va régulièrement dans un club libertin où il fait l’étalon. Il y a croisé tes parents et baisé ta mère… C’est quand il me l’a décrite que j’ai fait le rapprochement…
• Tu m’en diras tant ! Cela ne m’étonne plus… le premier soir elle s’est fait sauter par le capitaine et moi, le lendemain, j’ai eu droit à son second ! Et je dois te dire que c’est un fameux baiseur !
• Alors il n’y a que moi qui suis à la traine…
• Sois tranquille… Compte tenu de ce qui s’est déjà passé, je pense que notre croisière va faire le tour du SEXE !
• Mais comment je vais faire ? Tu connais mon goût pour les hommes murs et virils… Le capitaine baise ta mère… Comment vais-je faire pour attirer ton père ?
• S’il n’y a que çà, je vais t’arranger le coup. Ce soir après le repas, prétends être fatiguée… après tu verras !
Comme convenu, Myriam s’excuse après le repas et descend dans sa cabine…
Armando vient de prendre la barre et Bruno se joint à nous pour entamer une partie de cartes acharnée…
Mais mon père, prévenu discrètement pas mes soins à la fin du repas s’excuse à son tour et descend dans la coursive…
Myriam va avoir ce qu’elle veut : être baisée par mon père !
Le pire… c’est que cela ne me dérange pas : elle fait ce qu’elle veut avec son cul !
Gilles prend la place de mon père autour de la table… Il ne sait rien mais comme cela nous pouvons retenir ma mère avec nous…
Plus de deux heures ont passé et tous, nous somme las des cartes…
Myriam et mon père ont eu largement de temps de s’offrir le digestif !
Ma mère et Bruno gagnent ensemble le sundeck… Pas besoin d’un dessin : Ils vont faire ce que j’ai fait la veille avec Armando.
Quant à moi, si je ne peux pas baiser avec Armando qui tient la barre, c’est d’une autre barre dont je vais m’occuper !
Je me coule à genoux entre ses cuisses et après avoir sorti son mat du slip et du pantalon, je l’embouche pour dans un premier temps, l’enduire de salive et faire monter la sauce…
Il me dit :
• Bien joué le tour de passe-passe entre ton père et Myriam !
• Ouiiii, cette coquine avait envie de se le faire et lui bavait littéralement devant elle…
• Oui… J’avais remarqué qu’il ne la quittait pas du regard.
• Elle devait avoir deviné ce qui se passerait car elle a accepté l’idée de partir en croisière avec nous… Les trois femmes auront été baissées chacune leur tour…
• Tu ne crois pas si bien dire… et ce n’est pas fini !
Sur le moment je ne prête pas attention à cette remarque…
J’ai de plus en plus de mal à tenir la conversation aussi, je me concentre sur ce que, parait-il, je fais si bien : Sucer la queue d’un mec !
Je fais aller et venir mes lèvres le long de ce sexe qui ne cesse de grossir et de s’allonger… Waouh… Quel engin…
Je n’avais pas réalisé la veille quelles dimensions hors norme il pouvait avoir : Les deux mains placées côte à côte sur ce manche, j’arrive à peine à le tenir dans ma paume et l’extrémité et le gland dépasse d’au moins une main encore…
De la main gauche je fais rouler les bourses dans les couilles et de l’autre je masturbe la peau extérieure de la queue d’Armando qui va et vient entre mes lèvres…
Pas de gorge profonde… car j’ai la gorge irritée…
• C’est bien ma belle… Je vais te refaire le portrait puisque c’est ce que tu cherches !
• Non pas seulement ! J’ai envie que tu gicles d’abord dans ma bouche de salope puis tu déchargeras le reste entre mes seins !
• Ok ! Si c’est que tu veux !
Je marmonne la réponse avec peine… quand Armando plaque sa main sur ma tête et je sens aussitôt son sperme envahir ma bouche !!!
Je déglutis quelques gorgées et je sors le gland pour le placer devant mon buste…
J’achève de faire décharger Armando entre mes seins que je caresse tour à tour.
• Mais tu n’as pas joui ! Il ne m’en faudrait pas beaucoup pour partir.
• Alors… allonge-toi sur la banquette, je suis à toi tout de suite pour un cunni dont tu me diras des nouvelles.
• Je t’attends… Je ruisselle littéralement !
Pendant qu’Armando me bouffe la chatte il me dit soudain de me laisser faire :
• J’ai une surprise pour toi !
Je ne sais pas vraiment ce qu’il fait quand je sens un objet pénétrer ma chatte, y faire quelques mouvements puis chercher l’entrée de mon sphincter où il reste fiché :
• Garde-le en toi… Cela va ouvrir et assouplir tes muscles… Ajoute un peu de crème solaire si tu as mal et je pense que dès demain, si tu répètes l’opération à plusieurs reprises, on pourra déjà voir le résultat !
• Comment çà ?
• Puisque je suis trop bien membré, c’est Serge qui va ouvrir la voie !
• Il veut bien ?
• Bien sur… Pourquoi crois-tu que Bruno nous a recrutés ! Pour servir d’étalons pendant la croisière !
Décidément, je vais de surprise en surprise… Pendant toute la croisière, le voilier va nous servir de baisodrome !
Je ne suis pas contre… Je suis si avide de sexe qu’avoir deux mecs (ou plus…) à ma disposition me satisfait pleinement. Lorsque je m’engage dans la coursive qui mène aux cabines, je croise ma mère qui m’interroge :
• Alors, comment est-il cet Armando ? Sa queue est-elle si phénoménale ?
• Oh Maman ! Tu me choques !
• Ne fais pas ta prude… Je sais qu’il t‘a baisée hier soir et que ce soir vous avez remis le couvert !
• Et toi… tu te tapes Bruno au nez et à la barbe de Papa !
• Oh… Il le sait… d’ailleurs, le weekend dernier nous nous sommes rencontrés chez lui pour mettre au point la croisière mais aussi pour faire une partie à 3 dans l’intimité.
• Tu m’en diras tant !
• Tu viens d’être majeure alors je ne vais rien te cacher : Ton père et moi, nous sommes libertins depuis pas mal d’années… et des bites, j’en ai vu passer plus d’une et ton père a enfilé pas mal de filles non plus… Sa réputation n’est plus à faire dans notre milieu ! Bon assez bavardé… Je vais voir ce qu’il a à me raconter !
• Vous vous racontez tout ?
• Bien sur, nous ne faisons rien en cachette… c’est bien mieux… Et raconter nos frasques, cela nous excite et bien souvent nous finissons par baiser ensemble…
• Bonne nuit Maman ! J’entendrai certainement la version de Myriam demain matin !
Après un nuit sans rêve, c’est Myriam qui me réveille avec un plateau petit déj’ pour deux :
• Salut ma belle… Encore au pieu ?
• J’allais me lever ! Installons-nous et raconte-moi ta soirée avec mon père !
• J’avais bien deviné quand l’autre jour je l’ai remercié ! Il n’avait plaqée contre la cloison, et j’ai tout de suite compris… je suis allé tâter son « service trois pièces » C’est un fameux baiseur ! Tout d’abord, il m’a rejointe dans ma cabine où je l’attendais toute nue sur ma couchette… Quand il est entré, il a émis un petit sifflement admiratif et il s’est déshabillé aussitôt… et je dois te dire que ce que j’avais palpé vite fait ne m’ pas déçue.
• Passe sur les détails !
• Non… ils ont leur importance… Je pense que tu n’as jamais vu ton père à poil ?
• Non, cela semble évident ! Même autour de la piscine nous gardons nos maillots !
• Et bien je peux te dire qu’il est bien monté… Sa bite n’est pas très volumineuse mais ses couilles sont bien rondes et ballotent librement entre ses cuisses.
• Que t’a-t-il fait de si extraordinaire… Une baise est une baise !
• Il a commencé par m’envoyer en l’air une première fois en me faisant un cunni comme j’en ai rarement eu… En même temps, il avait mis ses doigts en fourchette et il me fouillait la chatte et le cul… Humm que c’était bon…
• Je pense que vous n’en êtes pas restés là ?
• Non, bien sur… Il m’a baisée en levrette les bras en appui sur le haut de la couchette… Oulla… Je le sentais aller et venir au plus profond de ma chatte où il allait de plus en plus vite et ses bourses battaient contre mon clito… C’était excitant si bien que j’ai joui une première fois !
• Tu m’étonnes… Salope comme tu es, tu avais encore envie d’en prendre un coup !
• Oui, d’autant qu’en me prenant en levrette, il me chatouillait la pastille, y entrant même deux doigts !
• Ne me dis pas qu’il t’a enculée ?
• Siiiiiiiii ! Et d’une manière que je n’oublierai pas… Pour une première, ce fut un feu d’artifice !
• Raconte !
• Dès qu’il est sorti de ma chatte, il bandait encore ferme puisqu’il n’avait pas joui… Je suis restée dans la même position et j’ai senti qu’il m’injectait du gel dans mon sphincter. Il s’y est glissé peu à peu… Le plus difficile, c’est le passage du gland au niveau de l’anneau plissé… Ensuite, il a glissé facilement en moi… J’étais tellement humide du cul tant j’étais excitée…
• Tu n’as pas eu mal ?
• Non, tout s’est bien passé… Peut-être parce que ton dabe a une queue fine… Ensuite il a commencé à m’enculer comme s’il me baisait en levrette, d’abord doucement pour que je m’habitue puis de plus en plus vite… tout en me traitant de tous les noms possibles jusqu’à ce que je jouisse et qu’il se déverse dans mon cul et sur mes reins !
• Waouh… Pour moi, et si j’ai bien compris, c’est ce soir que Serge va faire la fête à mon cul… D’ailleurs regardes ce que j’ai dans mon sphincter !
• J’espère que tu auras autant de plaisir que moi… Si j’avais su, il y longtemps que je me serais fait défoncer le cul !
• T’es vraiment la dernière des salopes !
• Tu sais… j’ai été à bonne école avec mes parents qui baisaient n’importe où, n’importe quand… même si j’étais là, ils ne se privaient pas… et combien de fois je me suis branlée en imaginant que mon père me baisait !
• Je comprends mieux pourquoi tu aimes les hommes murs… Tu assouvis le fantasme de baiser avec ton propre père !
• C’est un peu çà !
Arrivons à la soirée…
Mes parents regagnent leur cabine… Myriam en fait autant…
Bruno est à la barre pour encore une paire d’heure…
Armando fume une cigarette à la proue quand je monte sur le sundeck où il me rejoint aussitôt… bientôt suivi de Serge !
On croirait deux frère jumeaux tant ils sont semblables d’aspect sauf que l’un est brun et mat de peau alors que l’autre ressemble plus à un viking tant il est blond avec le visage constellé d’éphélides !
Armando me commande :
• Allez… à poil, montre nous comment tu as ouvert ton cul !
• OK… J’ai fait ce que tu as dit ! Je n’ai retiré le Plug que pour faire ma toilette intime avant le diner.
• Alors c’est parfait… Ton anneau doit être ouvert ! C’est bien… T’es un bonne chiennasse !
En moins de temps qu’il faut pour l’écrire les deux hommes sont à poil eux aussi… Je revois avec envie le sexe gigantesque d’Armando et je découvre celui de Serge… un peu plus court mais aussi largement plus fin !
A genoux devant leur pubis, je caresse ces beaux membres qui sont déjà bien dressés devant mon regard enfiévré…
Armando me dit soudain en se couchant sur le dos :
– A cheval… belle pouliche ! Viens t’empaler la chatte sur ma bite… Tu as aimé hier ? Et bien ce sera encore meilleur ce soir !
– —.—.—.—
– Tu vas avoir deux bites en toi… Pas comme tu imagines… mais Serge va t’enculer pendant que tu seras empalée sur moi !
– Vous êtes deux beaux salauds… Me faire une double pénétration dès ma première sodo… vous y allez fort !
– Ton père nous a donné carte blanche ! Nous pouvons vous baiser toutes les trois quand bon nous semble ! Et aussi souvent que nous en aurons envie !
– —.—.—.—
– Et que vous en aurez envie… Devant, derrière, la bouche… Tout !
– Ah la vache… Mes parents m’ont bien eue ! Moi la petite fille sage.
– Toi sage ? Ta réputation de pipeuse n’est plus à faire… Tu m’en as donné la preuve hier soir !
– —.—.—.—
– Allez, trêve de bavardage, je vais ôter le Plug et graisser ton cul !
Je sens un gel froid glisser dans mon sphincter puis bientôt, je ressens comme une chaleur qui irradie mon bas ventre…
Serge s’approche de nous, je sens son souffle sur mes reins et ses mains qui ouvrent mes globes fessiers et le gland qui se pose sur ma rosette.
J’ai un peu peur mais je repense à ce que m’a dit Myriam : Pousser pour faciliter l’entrée !
Dès que le gland franchit l’anneau plissé, je sens la bite de Serge s’introduire dans mon antre interdit…
Je tremble de tous mes membres… Je ne sais si c’est de peur ou de plaisir de sentir deux sexes en moi…
Armando et Serge coordonnent leurs mouvements, quand l’un sort à moitié de ma chatte, l’autre pousse au fond de mon cul et inversement…
Je ne sais plus où je suis tellement c’est bon…
Mon vagin est bien rempli par la bite de compète’ d’Armando et celle de Serge coulisse de plus en plus vite dans mon rectum qu’il n’a plus aucune peine à défoncer…
Soudain je l’entends vaguement me dire qu’il va jouir…
Je suis en plein délire sexuel…
• Lâche ta sauce et graisse-moi les intestins ! Puisque vous êtes là pour nous baiser… profitez-en ! J’arrive aussi !
Je sens immédiatement les spasmes de la jouissance m’envahir pendant que la bite de Serge enfle et lâche son jus au fond de mon cul !
Quelques secondes plus tard, c’est au tour d’Armando de se lâcher… et qu’est ce qu’il me met !
Quand je me relève et me désarçonne, c’est un véritable torrent de foutre qui s’échappe des mes orifices !
Je suis totalement dévastée par la jouissance…
Ce que je ressens, c’est au delà du plaisir charnel…
• Merci les mecs… Vous m’avez envoyée en l’air de belle manière… Pour un première sodo’, Serge était parfait…
• T’inquiètes… tu y prendras goût et tu seras la reine des soirées si tu offres facilement ton cul !
Nous restons à bavarder tous les trois jusqu’au moment où ma mère et Bruno repassent près de nous en descendant du sundeck.
Ma mère me dit :
• Viens me raconter ce que ces deux coquins t’ont fait !
• Oh Maman, c’est trop intime…
• Ne me fais pas rire, nous vous avons épiés et la position ne trompait personne !
• Allons dans ta cabine !
Chacun part de son côté… le capitaine et les marins regagnent leurs quartiers et je me retrouve allongée moitié nue sur mon lit avec ma mère qui ne porte pas beaucoup de vêtements : elle est nue sous sa robe de plage !
• Alors comme çà, tu t’es fait déflorer ton anneau plissé…
• Oui maman… je peux te dire que je recommencerai… C’est si bon…
• Avec Serge, tu as tiré le bon numéro… C’est un habitué des premières fois… Sa bite longue et fine fait merveille chez les filles ou les femmes qui n’ont jamais goûté à la sodo’ !
• Ne me dis par qu’il t’a enculée toi aussi ?
• SI…. J’ai voulu l’essayer mais ce n’était pas une première ! Mais sa réputation de sodomite m’a donnée envie de l’avoir une fois… pour voir ! Et sa réputation n’est pas surfaite !
• Ne me dis pas que tu t’es envoyée tous les hommes qui sont sur ce bateau ?
• Si… Que ce soit dans les clubs que nous fréquentons avec ton père que lors de soirées privées chez Bruno. J’ai rarement vu Serge baiser une femme, il les prend toujours par derrière…
Ma mère finit par regagner sa cabine et j’endormis comme une masse, sans faire de toilette intime tant je étais fatiguée !
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